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Aspartame
Petit rappel sur l’aspartame à l’usage de ceux qui ont déjà des trous dans le cerveau à cause de….
Dans la mesure où j’ai eu la très désagréable surprise de voir trainer un petit sachet d’ édulcorant à base d’aspartame (E951) sur le plateau de petit déjeuner pour sucrer mon thé, et ce à l’hôpital Saint-Pierre ) Ottignies en section Oncologie (traitement du…cancer !), il me semble utile de rappeler certaines petites choses…Notez que ce fait n’est ignoré ni des médecins (dont certains dégustent sans complexes leur Coca Zéro) et des diététiciennes qui encadrent les repas.
Je prends soin également de vous joindre un bon nombre de liens menant à des études et articles sérieux visant à vous démontrer qu’il y a peut-être intérêt d’enfin interdire l’aspartame et en tout cas de le bannir des cantines des hôpitaux ! Est-il utile de préciser que je privilégie à dessein les sources strictement scientifiques, ceci afin de faire taire les mauvaises langues et sachant que les gens continuent à prêter fois aux porteurs de gros diplômes et non aux honnêtes chercheurs, quel que soit leur bagage estudiantin.
La petite histoire de l’aspartame…
L’aspartame ou (aspartyl-phenylanine-methyl-ester) est un édulcorant de synthèse classé comme l’additif le plus dangereux avec le glutamate monosodique. Il est donc classé rouge dans la liste des additifs alimentaire. A ce propos, je vous rappelle qu’il y a de très bonnes applications gratuites à télécharger sur votre smartphone vous permettant d’identifier tous les additifs et leurs toxicité. Un indispensable lorsque vous faites vos courses. Il suffit de taper le nom ou le code (ici : E951) de l’additif pour en savoir plus et éviter d’empoisonner vos chères têtes blondes ou votre petit mari chéri….
L’aspartame est une excitoxine, c’est à dire un acide aminé excitateur neurotoxique qui a pour effet de détruire rapidement les neurones de notre cerveau. Les cellules sont en effet excitées, jusqu’à leur…explosion ! Tout comme le glutamate monosodique (E 621 ou GMS).
L’excès d’aspartame – et pire encore lorsqu’il est associé au glutamate – provoque la destruction lente et irrémédiable des neurones.
L’aspartame se retrouve dans plus de 6000 produits de la consommation courante. On se méfiera en général de tous ce qui est annoncé « sans sucre », « light »…mais pas seulement. On en retrouve même dans des chips, des thés en sachet…
L’aspartame coute moins cher que le sucre aux industriels, ils ne s’épargnent donc pas la peine d’en mettre le plus possible dans le maximum de produits.
L’aspartame se trouve dans des médicaments et même aussi dans certains vaccins.
En 1965 : dans les laboratoires de GD Searle, un chimiste découvre par accident l’aspartame tout en travaillant sur un médicament pour soigner les ulcères. Cette substance est 180 fois plus sucrée que le sucre, sans être calorique..
1967 : les premières expériences sont faites sur des singes nourris au lait et à l’aspartame et montrent déjà de grands risques de malaises, d’épilepsie et de mort. On supposera que ce n’est pas la faute du lait…
1971 : le Dr John Olney, professeur de neuropathologie et de psychiatrie, ayant déjà démontré la dangerosité de glutamate monosodique, parvient à prouver que l’acide aspartique (composant de l’aspartame) provoque des trous dans le cerveau de souriceaux! Mieux, l’un des chercheurs de G.D.Searle confirme les découvertes du Dr Olney en se livrant à une étude similaire.
1974 : le 26 juillet, la FDA autorise l’aspartame comme additif, uniquement dans les aliments secs. Par le plus pur des hasard, Donald Rumsfeld vient d’être nommé secrétaire général de la Maison Blanche. Plus tard, le même personnage deviendra le PDG de G.D.Searle en 1977.
1977 : Les enqueteurs de la FDA produisent le rapport Bressler. Des polypes de l’utérus et des tumeurs aux ovaires ont été trouvés chez des animaux morts mais cela n’a pas été déclarés dans les rapports de G.D.Searle.
Le procureur chargé de l’enquête pénale démissionne de ses fonctions et rejoint…un cabinet d’avocats de G.D Searle. Par le plus pur des hasards, le bureau du procureur des Etats-Unis abandonne les poursuites contre G.D.Searle.
1980 : les sucrettes à base d’aspartame sont en vente dans toute l’Europe, sauf en Angleterre…
1981 : Donald Rumsfeld qui est passé PDG de G.D.Searle depuis 1977 ne cache pas lors d’une réunion commerciale qu’il utilisera tout son influence politique pour que l’aspartame soit approuvé dans l’année. Ronal reagan devient président des USA, l’ancien commissaire de la FDA est démis de ses fonctions, et le Dr Arthur Hull Hayes s’empresse d’agir… l’aspartame est autorisé dans certains produits alimentaires sous forme de poudre, dans les chewing-gums, les édulcorants de table (Nutrasweet aux Etats-Unis), des céréales, certains desserts, et cafés instantanés.
1983 :Après que la G.D.Searle ait déposé une pétition pour que l’aspartame soit approuvé comme édulcorant dans les boissons, notre édulcorant est autorisé dans les boissons gazeuses aux Etats-Unis puis en Angleterre. Pour le surplus, Arthur Hull Hayes est contraint de démissionner car il se promène en jet privé appartenant à Genral Foods, l’un des gros clients de NutraSweet. Qu’à cela ne tienne, il est embauché immédiatement par G.D.Searle comme conseiller scientifique…Des conflits d’intérêts ? Mais où ça ?
1984 : L’aspartame est autorisée en Europe.
1985 : le 1er octobre, Monsanto (eeeeeh oui…) achète Searle pour 2,7 milliards de dollars. L’affaire aurait rapporté 12 millions de dollars à Rumsfeld. Par la suite, l’aspartame est utilisé dans de plus en plus de produits, malgré les milliers de plaintes des consommateurs américains, les rapports se succèdent mais rien en France ou en Belgique…
1993 : La FDA approuve l’usage de l’aspartame à la cuisson malgré la décomposition parfaitement connue de l’aspartame en toxines au-delà de 29°C.
1995 : La FDA rend publique une liste de 92 symptômes de l’aspartame identifiés chez plus de 10.000 victimes.
1996 : Aussi curieux que cela puisse paraître, la FDA lève toutes les restrictions de l’aspartame, il peut être utilisé dans tous les aliments et liquides.
1998 : Monsanto voudrait faire approuver le Néotame comme nouvel édulcorant ; 60 fois plus doux que l’aspartame et jusqu’à 13000 fois plus doux que le sucre, autre produit chimique peu étudié et suspecté d’être aussi neurotoxique.
2000 : Monsanto revend Nutrasweet à un groupe d’anciens directeurs de Monsanto (440 millions de dollars) et revend ses intérêts à Nutrasweet AG et Euro Aspartame
2002 : le 9 juillet, le Néotame est autorisé dans certains pays.
2004 : Des poursuites en justice sont initiées en Californie, contre 12 compagnies qui produisent ou utilisent de l’aspartame comme édulcorant dans leurs produits, pour fraude et violation de garantie en mettant leurs produits sur le marché tout en sachant que l’aspartame est neurotoxique.
2010 : Une étude danoise publiée dans The American Journal of Clinical Nutrition portant sur 59.334 femmes fait ressortir un lien entre la consommation de boissons à base d’édulcorants et le risque d’accouchement prématuré. Le risque augmente dés un soda quotidien, de 38%.
Une seconde étude, menée par le centre de recherche sur le cancer Ramazzini de Bologne, relève les effets cancérigènes de l’aspartame chez la souris et le rat.
2013 : l’EFSA conclut à la non-dangerosité pour l’homme de l’aspartame
2014 : Le figaro.fr publie un article déclarant que l’aspartame est sans danger, signé Jean-Marie Bourre, mis à jours le 17/02/2014
2018 : Deux études, l’une de l’Université Ben-Gourion du Néguev en Israël et l’autre de l’Université technologique de Nanyang à Singapour relèvent que les édulcorants artificiels, dont l’aspartame, le néotame, l’acésulfame K sont nuisible pour les bactéries intestinales, essentielles pourtant pour tre fonctionnement du système immunitaire, digestion et équilibre hormonal.
Composition et effets
Phénylalanine
L’aspartame et composé à moitié de phénylalanine, un acide aminé essentiel qui entre dans la constitution des protéines. On ne sait pas le synthétiser, il faut donc qu’on se fournisse en s’alimentant. Une fois ingéré, notre organisme le transformera en tyrosine.
C’est le dosage qui fait le poison, et si la phénylalanine est un composant essentiel sans lequel notre corps ne pourrait fonctionner, des niveaux excessifs entraînent de fortes complications au niveau du cerveau, surtout en association avec des hydrates de carbones (sucres).
Trop de phénylalanine dans le cerveau peut amener à une décroissance de sérotonine, ce qui entraîne des désordres mentaux, tels que la dépression. La sérotonine est un neurotransmetteur qui est notamment impliqué dans la gestion des humeurs et qui est associée à l'état de bonheur. Lorsqu’elle est à un taux équilibré, la sérotonine réduit la prise de risque et en poussant ainsi l'individu à maintenir une situation qui lui est favorable. Elle est donc indispensable à la survie des mammifères dont l'Homme.
Or, une seule prise d’aspartame suffit à faire monter les taux de phénylalanine de façon significative. Pour les grands consommateurs, un excès de phénylalanine dans le cerveaux a été noté dans diverses études.
Acide aspartique
L’aspartame contient 40% d’acide aspartique. Cet acide aminé classé dans les excitoxines est dangereux pour notre cerveau ! Pour ceux qui disent que cela ne prouve rien et que les rats ne sont pas des humains, sachez que l’espèce humaine est cinq fois plus sensible à cet acide que le rat….
Cet acide s’attaque donc lui aussi à notre cerveau, et accessoirement à celui des fœtus puisqu’il traverse tout à son aise le placenta.
Le sujet exposé à de fortes doses d’acide aspartique peut connaître des crise d’angoisse, des obsessions, faire preuve d’hyperactivité. Curieusement, de plus en plus d’enfants sont hyperactif…en réponse, on leur donne…Des calmants ! Vous n’avez pas envie plutôt de vous décider enfin à lire les étiquettes de compositions des aliments transformés et sucreries dont vous nourrissez vos enfants ?
Méthanol
Le méthanol est issu de l’alcool de bois. De l’alcool à brûler, si vous préférez. Arrivé à une certaine dose dans notre foie, c’est un poison, et il peut provoquer maux de tête, dommages rétiniens pouvant conduire à la cécité, bourdonnements d’oreille...
De multiples effets indésirables
La Food and Drug Administration a noté 92 effets indésirables suite aux nombreuses plaintes des consommateurs…En Europe, en général on se contente de signaler quelques diarrhées, sinon, tout va dans le meilleur des mondes !
En voici quelques –uns, histoire de vous mettre l’eau à la bouche…
-Surpondération car l’aspartame creuse l’appétit.
-Faim et soif excessives
-Etourdissement et vertiges, tremblements
-Maux de tête, migraines (si consommation chronique)
-Baisse d’intelligence, difficulté de concentration
-Fatigue chronique
-Dépression, irritabilité, phobies, hyperactivité, troubles du comportement (TOC), agressivité, schizophrénie (on parie combien qu’il y en a dans les cafeterias des institutions psychiatrique ?) …
-vieillissement prématuré de la peau, plus que la cigarette !
-Dérèglement hormonal
-Ballonnements, œdèmes…
Le partenaire exclusif de diverses maladies chroniques
En outre, l’aspartame joue un facteur significatif sinon déclenchant dans diverses maladies :
Fibromyalgie, maladie de Parkinson, de Lyme, lymphome, syndrome de fatigue chronique, épilepsie, sclérose en plaque, arthrite, lupus, diabète…
Le syndrome de la Guerre du Golfe
Ce phénomène est attribué à la consommation de sodas édulcorés style Diet Coke entreposé pendant des semaines dans la chaleur du désert. En effet, à 29°C, donc dans le café ou dans une canette de soda exposée à la chaleur, l’aspartame e décompose en deux toxines connues : la DKP et la formaldéhyde.
Interactions dangereuses
Les effets de l’aspartame sont augmentés par les antidépresseurs, les médicaments et les vaccins…
Aspartame et hypoglycémie
Les édulcorants de synthèse sont des substances chimiques au pouvoir sucrant artificiel totalement dépourvues de valeur énergétique. Or l’organisme ne supporte pas un taux de sucre insuffisant dans le sang. Pour lutter contre cette hypoglycémie, aggravée par l’absence de vrais sucres, il va mettre en place des systèmes de défense pour avertir qu’il est en danger, qu’il a un besoin urgent de sucre et qu’il sera bientôt en panne d’énergie et émettre des signaux de faim et de satiété.
Comme tous les édulcorants intenses, l’aspartame entretient le goût du sucré, ce qui va engendrer une production d’insuline qui peut favoriser le stockage de graisses.
Désintoxication
Il y a sept cliniques de désintoxication dans le monde mais aucune en Europe. Les effets secondaires de l’aspartame sont souvent réversibles dans les 60 jours sans aspartame ni glutamate monosodique.
Conclusion…
Une petite cuillerée de miel dans votre café ou thé est amplement préférable, et ce n’est franchement pas cela qui va gâcher votre belle ligne. En revanche, un traitement de chimiothérapie risque d’atteindre quelque peu votre fraicheur et votre beauté. Que pensez des ados (et tous les autres) qui boivent des sodas light comme de l’eau ?
A Zeletzki v.P
09 11 2018
Pour aller plus loin…
Lire :
Bouquins :
Excitoxins, The Taste that Kills du Dr Russell Blaylock (neurochirurgien et nutritionniste américain ) -(1994)
Aspartame Disease : An Ignored Epidemic , Dr H.J. Roberts
Sweet Poison, Dr. Janet Starr Hull
Le Light, c'est du lourd, Henriette Chardak, (éd. Max Millo)
Articles:
Les medias officiels commencent enfin à en parler, et c’est tant mieux ! Ici un petit article de la Dernière Heure du 24 avril 2018, l’Aspartame, un concentré de poison…
https://gourmandiz.dhnet.be/manger-mieux/1612/laspartame-un-concentre-de-poison
Parce qu’avant, ils en faisaient plutôt l’apologie…l’auteur parvient-il encore à se regarder dans un miroir ? Ainsi, le figaro.fr publie un article déclarant que l’aspartame est sans danger, et ce pour tout âge…signé Jean-Marie Bourre, mis à jours le 17/02/2014 : http://sante.lefigaro.fr/actualite/2014/02/14/21995-laspartame-est-sans-danger
Les édulcorants chimiques sont aussi nocifs pour la flore intestinale, comme le démontrent deux études récentes : lire l’article de Sputniknews.com : https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201810041038366915-boisson-intestins-science-sante/
Etudes:
-Cesare Maltoni Cancer Research Center of the European Ramazzini Foundation (CMCRC/ERF) ; Soffritti M et al., First experimental demonstration of the multipotential carcinogenic effects of aspartame administered in the feed to Sprague-Dawley rats. ; Environ Health Perspect. 2006 Mar; 114(3):379-85.
-Halldorsson TI et al., “Intake of artificially sweetened soft drinks and risk of preterm delivery : a prospective cohort study in 59,334 Danish pregnant women”. Am J Clin Nutr. 2010 Sep ;92(3) :626-33
- John Olney et al., « Increasing brain tumor rates: is there a link to aspartame? », Journal Neuropathology and Experimental Neurology, vol. 55, 1996, p. 1115-1123.
Surfer:
Doorway.com, site entièrement dédié à l’aspartame.
Regarder :
Védiéo “L’aspartame – Notre poison quotidian – Marie Monique Robien - ARTE
Tags : aspartame
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