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L’aspartame (E 951), ce doux poison
L’aspartame (E 951), ce doux poison
Trop de gens pensent éviter les effets désagréables du sucre en prenant comme substitut des édulcorants du style de l’aspartame.
Je dois avouer que ces braves dames qui rajoutent fièrement leur petite sucrette dans le café du matin, et qui le reste de la journée consomment sans complexe jus de fruits, desserts et autres gâteries, m’ont toujours laissée perplexe.
L’American Cancer Society a mené une étude sur 80 000 femmes durant six ans. Les femmes qui ont pris le plus de poids pendant cette période furent celles qui consommaient le plus d’édulcorants.
Lorsqu’on sait que, de 1985 à 2000, le détenteur de la licence de l’aspartame était Monsanto (à travers la filiale NutraSweet Company, qui commercialisait NutraSweet), bien connu pour financer ses propres études dans le but d’affirmer sans le moindre scrupule des énormités telles que par exemple le glyphosate est aussi inoffensif que de l’eau, on sait quel crédit accorder à ce produit. Depuis 2000, NutraSweet Company a été vendu à J.W. Childs et Equal a été vendu à Merisant.
Mais voyons un peu ce qui se cache derrière E951…
Cet édulcorant de synthèse a été découvert accidentellement en 1965 aux USA par un chimiste de la société Searle, pour y être mis sur le marché en 1974. Il provient de la combinaison de deux acides aminés (l’acide aspartique potentiellement dangereux pour le cerveau et la phénylalanine) grâce à une bactérie (rendue OGM par Monsanto lorsqu’il détenait la licence) et il a un pouvoir sucrant de 200 fois plus élevé que le sucre. Il est présent dans de nombreux produits « light », tels que les desserts, les sucrettes, les chewing-gums, les boissons (sodas, jus de fruits etc.), yaourts, … mais aussi dans des médicaments
Selon les études « officielles » que l’on nous a pondues aujourd’hui, la dose quotidienne à ne pas dépasser pour un adulte serait de 40 mg par kilo, ce qui équivaut à 10 canettes de soda uniquement sucrées à l’aspartame.
Lorsqu’on consomme une boisson ou un aliment sucré à l’aspartame, la phénylalanine se transforme en méthanol (oui, vous avez bien lu : l’alcool à brûler !), puis en formaldéhyde et, finalement, en formate.
La phénylalanine est un acide aminé naturellement présent dans les aliments, mais ingéré à forte dose, il cause la chute du taux de sérotonine (hormone de la bonne humeur) dans le cerveau. Lorsque le taux de sérotonine est perturbé, cela provoque des troubles mentaux tels que : dépression, schizophrénie ou encore attaques épileptiques…
Le neurochirurgien Russel Blaylock affirme qu’un taux excessif de phénylalanine peut provoquer de la schizophrénie. En 1985, le toxicologue Adrian Gross affirme devant le congrès américain qu’il n’y a pas l’ombre d’un doute, l’aspartame cause des tumeurs au cerveau...
Le neuroscientifique John Olney a constaté en 1971 que l’acide aspartique provoquait de véritables trous dans le cerveau de souriceaux. Ce qui a été confirmé par l’un des chercheurs de la société Searle qui s’était livré à une étude semblable.
Le méthanol qu'il contient se transforme en acide formique lorsque le produit qui le contient est exposé à une température supérieure à 30°. Ce poison est utilisé pour tuer les fourmis et provoque progressivement une acidose métabolique. C’est arrivé notamment à des soldats américains lors de la guerre du Golfe, leur cannette de sodas ayant été exposées au climat ambiant, et ça arrive bien entendu lorsqu’on sucre un café bien chaud….
Même si des scientifiques se sont toujours évertués à démontrer l’innocuité de l’aspartame, des études indépendantes de celles financées par l’industrie ont relevé un potentiel effet cancérogène et un risque d’accouchement prématuré.
L’une de ces études a été menée à l'Institut de recherche sur le cancer à Bologne (Italie) en décembre 2010 chez la souris et montre en montre une augmentation des cancers du foie et des poumons.
Des organismes tels que l'EFSA (Autorité européenne de sécurité des aliments), dont on peut raisonnablement douter de l’indépendance par rapport aux puissants lobbies de l’industrie agro-alimentaire, contestent bien entendu le résultat de ces études, arguant une mauvaise méthodologie.
Des coïncidences troublantes ne peuvent pourtant être ignorées, et une relation avec l’alimentation ne peut être réfutée. Ainsi, a-t-on enregistré depuis plus de vingt ans, il y a une hausse sensible du nombre de cas de cancer du cerveau aux Etats-Unis, parallèlement à l'utilisation croissante de l'aspartame…
Des milliers de plaintes ont déjà été déposées pour effets indésirables liés à la consommation d'aspartame (nausées, vertiges, hypo et hyperglycémies, hypersensibilité aux bruits, troubles sexuels, hyper ventilation, attaques et convulsions, épilepsie, pertes de mémoires, phobies…la liste n’étant pas exhaustive…).
Bien entendu, d’après les fabricants, ces troubles ne seraient pas liés à la consommation d’aspartame.
Ces mêmes fabricants s’obstinent à vouloir ignorer que l'aspartame aggrave les symptômes de nombreuses maladies auto-immunes telles que la fibromyalgie, arthrite, sclérose en plaques, diabète et complications diabétiques, épilepsie, maladie d'Alzheimer, lymphome, syndrome de fatigue chronique… S’il est recommandé justement de limiter la consommation de sucre rapide (et cesser tout gluten et produit laitier) lorsqu’on est atteint de ces maladies, il ne faut en aucun cas tenter de le remplacer par un édulcorant chimique ! La seule exception peut être faite pour le stevia pur (Stéviols glycosides: stévioside, rébaudioside A, le rébaudioside C et le dulcoside A…)
Plus grave, la presse qui comme on le sait vit de la publicité, se fait l’alliée de l’industrie agro-alimentaire en prétendant que l’aspartame est totalement inoffensif, voire à travers certains articles, encourage sa consommation ! L’article publié le 14/02/2014 sur le site http://sante.lefigaro.fr/ est un exemple du genre ! (http://sante.lefigaro.fr/actualite/2014/02/14/21995-laspartame-est-sans-danger). Un site plus qu’élogieux est d’ailleurs totalement dédié au produit : (https://aspartame.org/)
Attention, Il y a aussi sur le marché le Néotame E961 qui a un pouvoir sucrant de 40 à 60 fois celui de l’aspartame, développé lui aussi par…Monsanto.
Les industriels ont tout avantage à continuer à utiliser l’aspartame ainsi que d’autres édulcorants artificiels, vu qu’il coûte beaucoup moins cher que le véritable sucre et qu’ils vendent les produits dits « light » plus chers que les versions classiques.
Outre le caractère toxique du produit, il faut se rappeler que le faux sucre donne le gout du sucré et que les aliments contenant de l’aspartame sont généralement dénués de toute qualité nutritionnelle…
Prenez plutôt de l’eau gazeuse, versez-y un peu de jus d’orange bio en brique, et vous avez une limonade 100% naturelle, peu coûteuse et pas trop sucrée…
Indépendamment de ces successions d’études contradictoires, le plus élémentaire bon sens veut que l’on cherche à se rapprocher autant que possible d’une alimentation bio-compatible.
A.Zeletzki v.P - mars 2018
Pour aller plus loin…
http://bistrobarblog.blogspot.com/2013/02/la-scandaleuse-histoire-de-laspartame.html Saviez-vous que l’aspartame a été interdit deux fois par la FDA (agence américaine pour la santé maladie) ? Comment se fait-il que ce produit soit devenu légal aujourd’hui ?
https://www.mercola.com/Downloads/bonus/aspartame/report.aspx téléchargez un rapport gratuit du Dr Mercola sur l’aspartame et d’autres édulcorants artificiels (en anglais).
http://www.rense.com/general33/legal.htm une chronologie de l’aspartame (en anglais)
http://rustyjames.canalblog.com/archives/2017/01/28/34861586.html le Néotame E961, un autre édulcorant nocif développé par Monsanto
http://rustyjames.canalblog.com/archives/2014/11/11/30935901.html et puisqu’on y est...la petite histoire de Monsanto
Tags : aspartame, E 951, poison, néotame E961, réaudioside A, stevia, fibromyalgie, arthrite, sclérose en plaques, diabète